Indian travel 2007-2008

Lánnee derniere, jávais ete un peu emmerder par les moustiques... parait quíls aiment bien mon sang! Moi je prefererai que de la citronnelle coule dans mes veines.

Cette annee, cést lénfer, je pense que cést l'Índe du Sud, pas d'hiver ici, chaleur et humidite au rendez vous... et puis dans les regions comme le Kerala, comment voulez vous passer a cote d'úne proliferation alors que vous etes niches en plein coeur des "Backwaters". Cést en Arrivant a Coimbatore que jái commencais a comprendre que ca allait etre la galere ces putains de mini-vampires. Il est  minuit et demi, je suis a la gare, sur le quai, mon train pour Cochin est sense arriver a 0.55, evidemment au final, ca aura ete 1.40 du mat'. Járrive donc sur la quai et je m'assois sur mon enorme sac de voyage qui est devenu une vraie plaie a trainer. Ni une ni deux cést parti pour lápproche finale des avions "Mosquitos Airlines", comme si la piste jusque moi avait ete balisee par ces rangees de lumieres au sol, en voila 3 ou 4 qui commencent a me tourner autour! "Ha Ha, vous voulez faire les malins petites saloperies! Bah je vais vous faire gouter de mon super spray anti-moustique special zones tropicales et subtropicales!!!". Me voila donc en train de me badigeonner de ce precieux produit, les bras, les chevilles cést toujours ce que je vaporise, generalement ce sont les zones privilegiees par nos amis. Presque le sourire aux levres, je les regarde continuer a me tourner autour et garder leur distance. Et puis "ouch!", une piqure, et tres vite une deuxieme! Le produit est inefficace en fait. Il a suffit que deux kamikazes viennent planter leur aiguille dans ma peau pour quúne nuee de patriotes se joigne a eux et me prenne d'assaut! La, il ný a pas 2 solutions, cést "etat dúrgence", faut que je me couvre au plus vite, mais je n'ai que mon sweat et avec la chaleur (oui la nuit ná pas rafraichie látmosphere) cést vite devenu un sauna la dessous... Jái chaud, je transpire, mais ils ne lachent pas l'affaire, et vous me croirez ou pas, mais ils mónt bouffe les doigts, mais bon ca ca va meme si cést quand meme plus exceptionnel, non le souci cést quíls se jetent sur mon visage "AAAAARRRGGGGGHHH"> La vous commencez a devenir dingue, yén a partout, ca pique a travers les fringues evidemment (ouais je crois quíls sont munis de super "trompes" en acier trempe!), vous essayez de les repousser, mais cést inutile, viens ensuite le moment ou vous voila en train dímiter Gilbert Montagnet (je ne sais pas comment sécrit son nom de famille desole) puisque vous taper vos mains devant votre visage, puis a gauche, a droite, le tout en balacant la tete pour eviter un atterissage sur la joue ou le sourcil!!!

Je deviens fou, presque reduit a la connerie dún chat avec une mouche sur une fenetre! Je suis fatigue, jái passe la journee dans les transports, il est plus dúne heure du mat', játtend ce putain de train de merde... comme si ca ne suffisait pas, me voila en train de jouer a Buffy contre les mini-vampires! L'énfer, et ca a continue dans le train pour Cochin... mais ils ont eu le champs libre parce que la fatigue má fait baisser ma garde et tres vite fermer les yeux...

PS: desole pour les apostrophes inexistantes mais ya un pb avec le clavier, cést un peu la misere...